OCCUPATION ALLEMANDE

Beeck a écrit:

Lomme tu me reconnais ?

A3??

Pierrot accroupi ou A 5 ?

TITI a écrit:

Pierrot accroupi !!!

Tu as raison Titi, et j’ai 18 ans et je suis tombé amoureux de qui vous savez !
Cela a été important pour deux choses
1…..Je n’ai plus signé pour 3 ans de plus, comme volontaire.
2…. Ma fille est née le 4 juin 1963, et l’avion est tombé le 26 juin 63 !!!!!!! Ce qui ma peut-être sauvez la vie !!!!!

Pour la mitrailleuse, Titi c’est une Vigneron pour les deux Kets (Radio)
Coca one, Coca one Over…. Over Coca One.. Tu te rappelle ?

Autre chose, nous les Paras on était pas des « Stoufer, des Zots ou des Dike Neck »
Non, j’avais 18 ans et a cet âge, tu pense déjà être un homme, alors que hein… Le plus moche reste encore a venir…..hei ma vast.

Beeck a écrit:

Lallemand Nelly a écrit:

Bonjour Guillaume, oui merci. J'ai eu de la chance au Coq, j'ai eu un temps formidable pas une goutte de pluie et beaucoup de soleil , je suis rouge comme un homard. Maintenant j'attends les résultats des examens de mon Charel.

Bonjour Nelly de Francine et de Pierrot. De retour plus tôt que prévu ?

Sorry les amis je viens seulement de lire votre message.Oui je suis revenue un jour plus tôt que prévu .La raison quand  je suis arrivée le vendredi le gars à la réception de l'hôtel nous dit quon avait réservé qu'à partir du samedi . Heureusement il nous a déniché une autre chambre dans son hôtel car comme il faisait très beau je crois que cela aurait été difficille ailleurs, comme ça au pied levé.

Nous sommes libres!.Septembre 1944: Bruxelles fait un accueil délirant aux troupes belges et alliées.

Lallemand Nelly a écrit:

Nous sommes libre s!.Septembre 1944: Bruxelles fait un accueil délirant aux troupes belges et alliées.

Guillaume, moi j'étais présent à la porte d'Anderlecht, dans les bras de ma maman.......Mais je me rappele pas.

Beeck a écrit:

Guillaume, moi j'étais présent à la porte d'Anderlecht, dans les bras de ma maman.......Mais je me rappele pas.

PIERROT.moi j'était a la porte de NINOVE avec ma grand-mère,il sortait de la RUE DES FABRIQUES.

L'entrée des troupes alliées eut lieu sous les ovations de
la foule en délire

.Bonjour Guillaume je me demande où la première photo a été prise?Chouettes photos quelle ambiance, quzelle joie. Peut-être que le professeur Beeck connait l'endroit .

Lallemand Nelly a écrit:

.Bonjour Guillaume je me demande où la première photo a été prise?Chouettes photos quelle ambiance, quzelle joie. Peut-être que le professeur Beeck connait l'endroit .

bonjour Nelly cette place ne m'est pas inconnue mais je ne saurait pas dire laquel??

LOMME a écrit:

libération DE BRUXELLES le 3 SEPTEMBRE 1944 en
début de soirée,la ville fut libérée par les britanniques
le lendemain,la brigade PIRON entrait à BRUXELLES

Anniversaire aujourd'hui 64 ans déjà.

Lallemand Nelly a écrit:

LOMME a écrit:

libération DE BRUXELLES le 3 SEPTEMBRE 1944 en
début de soirée,la ville fut libérée par les britanniques
le lendemain,la brigade PIRON entrait à BRUXELLES

Anniversaire aujourd'hui 64 ans déjà.

La maman de Pierrot a toujours raconté, que ce jour là elle était porte d'Anderlecht avec lui dans ses bras, pour voir passer les soldats Anglais.
Un soldat Anglais, pasteur s'est approché d'elle et a baptisé une deuxième fois Pierrot. (+ de 5 kilos à la naissance)

LOMME a écrit:

L'entrée des troupes alliées eut lieu sous les ovations de
la foule en délire

.La libération de Bruxelles en septembre 1944 entraîne une influence considérable dans les cinémas. Une multitude de spectateurs avides de films jusque-là censurés, interdits ou cachés se pressent dans les salles obscures. Les cinémas changent de nom, les enseignes prennent des consonances anglo-saxonnes et célèbres les vainqueurs . Le Blaes (rue Blaes 208 devient le RAF, le Lutetia Palace (rue Neuve) transforme sa façade pour devenir le Victory et, rue du Collède à Ixelles , l'Astoria fait de même et devient le Monty. Source:Histoire des cinémas bruxellois région Bruxelles Capitale.

Sorry c'est un oubli ce post devait se trouver avant la libération enfin il n'est jamais trop tard pour bien faire. Pendant l'Occupation, les zazous exprimèrent leur non-conformisme et leur opposition au régime en organisant des concours de danse, qui les opposaient parfois aux soldats allemands. Lorsque les lois raciales de Vichy et des Nazis obligèrent les Juifs à porter l'étoile jaune, un certain nombre de zazous, par défi, s'affichèrent avec une étoile jaune marquée « zazou ». Ils furent déportés comme les autres. Par bravade, ils portaient des vêtements trop longs à une période où le tissu était rationné, ils gardaient les cheveux longs alors qu'un décret vichyssois faisait des cheveux récupérés chez le coiffeur une matière première d'intérêt public pour la confection de pantoufles. Enfin, ils mettaient un point d'honneur à être toujours équipés d'un parapluie qu'ils n'ouvraient jamais.Les zazous étaient contemporains de l'existentialisme. Boris Vian en était un exemple typique. Il n'a cependant jamais revêtu l'habit du zazou, comme l'évoque Claire Julliard dans la biographie de Boris Vian, Gallimard, 2007. Boris Vian a écrit la  chanson "Le déserteur"

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/e/e7/Zazou_h_ill.png

:Source Wikipédia